Cendre

octobre 2015

Concentration n'est pas adrénaline

mercredi 7 octobre 2015 à 11h31
Erreur d'aiguillage repéré au cours d'une conversation sur les massages et le shiastu, sur la difficulté de me sentir responsable du corps de l'autre. J'ai parlé d'adrénaline. Si je gère ma concentration avec de l'adrénaline, c'est pas très surprenant que je ne tienne pas plus d'une heure. L'adrénaline, cela génère du qui-vive, et c'est pas fait pour être maintenu plus que par pic ponctuel. Retour au Zen. Je n'ai pas besoin de me stresser au boulot, même si mon climat émotionnel est à l'orage. Pause. Respirer. Décompresser avant d'être tellement sous pression que je vais

Etats d'âmes

mardi 13 octobre 2015 à 10h44
Je relis cet excellent ouvrage de Christophe André : Les états d'âmes Il répète l'importance de tenir un journal, pour observer ces derniers, ne pas les laisser tourner en rond dans nos têtes et pourrir notre existence à notre insu. Il répète l'importance de s'en tenir aux faits, et de ne pas se précipiter sur le pourquoi, sur les responsabilité et les jugements. (il a d'autres recommandations sur la forme que doit prendre l'écriture, mais j'ai oublié, je relirais le chapitre et reviendrait vous dire) J'ai lu ce livre il y a 6 ans maintenant. Il m'a fait reprendre un journal,

Consignes d'écriture

vendredi 16 octobre 2015 à 20h14
Voici comme promis la relecture depuis Les états d'âme de Christophe André sur comment faire pour que tenir un journal intime (ou extime, il y a-t-il une différence ici ?) soit le plus apaisant pour nos états d'âmes : 1/ Être dans l'approfondissement de ses état d'âmes, et non dans un objectif de relativiser et dépassionner. C'est plus dur sur le moment, mais plus profitable par la suite. 2/ Plus les écrits contiennent de « joncteurs », de causalité ou de temporalité (comme : c'est pourquoi, ainsi, donc, et alors...) et des mots liés à l'introspection (comme : j'ai

Le souci

mardi 20 octobre 2015 à 23h15
Je continue ma lecture des états d'âmes de Christophe André. Voici ce que j'ai envie de souligner dans ce qu'il dit à propos de l'inquiétude : « Pour comprendre l'angoisse et l'anxiété, il faut comprendre le souci. Le souci est cet « état de l'esprit qui est absorbé par un objet et que cette préoccupation inquiète ou trouble jusqu'à la souffrance morale ». Les objets du souci, c'est exactement tout ce qui fait la vie quotidienne : la santé ou l'argent, que l'on aimerait avoir ou que l'on a, mais avec la peur de les perdre ; l'amour, l'affection, l'estime que l'on nous porte