J’ai pas assez dormi.
Sur une belle raison, certes.
Mais du coup, je suis d’humeur exécrable.
J’aurais du me connecter à 9h. C’est pour ça que j’étais pas en télétravail ce matin, mais j’ai oublié, et du coup, la journée commence vraiment sur un mauvais pied.
J’étais en train d’oublier de trouver le mail avec les plan pour choupie. Bon, c’est fait. (il est 10h30)
Faut dire que ces réunions devs, appuient vraiment là où ça fait mal : l’extrême hétérogénéité des projets, les tensions avec la MOA, et le travail que je n’arrive pas à faire avancer.
(après, entendre Ali dire qu’on a construit une maison sans cuisine, en disant qu’on avait des restos autour, c’est pas mal)
D’une petite application dans un coin, c’est devenu un truc important.
Méconnaissance du système dans sa globalité....
Punaise,
J’ai vraiment du mal.
En fait, je ne peux travailler qu’en début de semaine, car le jeudi et le vendredi ces réunions me ruinent.
C’est dommage.
Hier, j’étais allée sur place, j’avais creusée l’idée du spy, fait mon agenda, rentrée fatigué, mais quand même, se motiver pour les cordes.
Et sur place, plaisir d’un joli modèle, charmant, dans mes cordes, puis dans mes bras d’aftercare, puis dans mes bras tout court. Puis les marques câlines, répétée, voir l’opportunité, l’évoquer, se laisser porter par la vague.
Résultat, sur le moment, bonheur pur, connexion, plaisir partagé.
(Juste, c’était le bordel vraiment chez moi)
Mais là, ce matin, que faire de ça ?
Juste encore plus d’écœurement.
c’est quoi ce bordel dans ma tête ?
J’étais tellement contente que imediacy ait fonctionné. De me prouver que j’éprouve encore du plaisir.
Mais là, plus rien, juste l’amertume.
Est-ce physiologique ? en baisse ordinaire suite à un pic ?
Et les larmes qui montent alors ?