Je suis grande. J’assume. Mes moments de bonheurs comme ses moments de douleurs. Puisqu’ils vont ensemble. Et même si je n’ai aucune idée sur comment atténuer ses souffrances ou accélérer le processus d’acceptation, faire au mieux, au jour le jour, pour l’accompagner, qu’il m’accompagne, pour le meilleur et pour le pire…
Belle journée pourtant. Que ces noires réflexions n’entachent pas tant que cela. Car le bonheur est palpable.
Et que tous ceux qui fondent leurs vies sur la souffrance et le mensonge n’ont vraiment aucune alternative valable à nous proposer.
Et que nous n’en connaissons pas d’autre.
Alors se laisser porter, un peu. Planer, beaucoup.