Six mots au tableau me rappelle que je suis une sacrée veinarde, quand même.
Que je suis aimée pour ce que je suis.
Même dans mes périodes de doutes.
Même dans mes périodes d’euphorie.
Juste pour ce que je suis.
Et alors.
S’autoriser à l’être, ce que je suis.
Même si ça ne sera jamais parfait, jamais comme il faut.
Faire de l’amour le centre de ma vie.
Merci à Dominick de remonter ces vieux posts. Sans compter l’orgueil, cela me permet de me relire.
Et la vie est belle si je le décide.