C’est drôle, cette alternance.
J’ai passé un excellent week-end à glander gentiment, à traîner sur le net, sur facebook, sur les types de personnalités (je suis définitivement INTP), et surtout à aimer mon homme, aimer la vie à ses côtés, jouer avec lui, discuter, prévoir, échanger, vivre !
J’avais le temps mais pas l’envie.
Et là, de retour au boulot, dans ce contexte de réflexion, de construction, d’analyse, d’architecture, de projet, tout revient, tout ce que je voulais écrire, dire, mettre en forme, mettre en mots, en phrase. Je les sens qui se bousculent, qui ne demandent qu’un peu de temps pour se ranger sur des lignes.
J’ai l’envie mais pas le temps.
Tant pis, c’est pas grave.
Je sais que c’est là.
Mon envie d’écrire sur le deuil de la relation mono.
Et mes autres envie d’écrire aux uns et aux autres, leur dire que je vais bien, que je continue d’avancer, que leurs mots me touchent.
C’est ré-activable, je le sais.
Je finirais bien par trouver un espace temps où j’en aurais, à la fois l’envie, et le temps.