Tant que j’y suis à te raconter !
Ce soir en sortie de cordes, je m’en souviens avec précision.
Je ruminais mon pic d’adrénaline qui n’avait pas été franchement cool.
Voilà mon dialogue intérieur de ce moment là :
«
😑 – je vais pas bien. On regarde en rentrant ce qui cloche ? Je veux pas craquer ici, ça va pas le faire.
🌕 – bah si, justement, on dit qu’il fallait appendre à se faire aider. C’est le lieu, et les orgas l’ont même dit explicitement ! Va y, on essaye, j’vois pas mieux pour apprendre.
🙁 – ok. On essaye, j’aime pas ça, mais ok. Ok pour que le groupe le voie. (grande inspiration) Mais il faut une personne précise quand même.
Qui alors ?
🌕 – Ton modèle ? C’est normal que ton compagnon t’apporte du soutien, non ?
😨 – Non !
T’es gentille, je sais quand même l’appeler maintenant. Me prends pas pour une gourde non plus. Là, il est partie prenante dans le problème. C’est pas possible.
Qui alors ?
🌕 – on va trouver, t’inquiète, pleure pas, je t’aime, on va trouver, regardons qui est là.
😭 – Y’a personne ! je te déteste, on va craquer, on va embêter tout le monde pour rien ! on aurait du régler ça dans notre coin comme d’hab ! !
🌕 – Regarde ! Y’a el !
»