Cendre

Bonne Année !

mardi 9 janvier 2018 à 15h26

Comment décrire ce nouvel an.
Ses merveilles.

Le lieu, les gens, les interconnexions.

Où comment en allant dans une fête où je ne connais que deux personnes, où j’y apporte deux autres personnes supplémentaires, je découvre comment tout le monde connaît tout le monde et fait bon ménage au delà de mes plus folles espérances.

j’avais beau me rassurer : présenter un amour nouveau à un amour ancien est toujours sources d’enjeu

« Tu es en train de changer ma vie
– c’est pas ton regard sur la vie qui a changé ?
– si, mais ça, c’est le burn, c’est pas toi. Non, toi, tu changes l’organisation concrète de ma vie, au quotidien et dans ses projections »

Petit dialogue ce matin qui confirme que mon Dandy sait qu’il n’est que la partie émergée de l’iceberg. Qu’en dessous, c’est toute mon rapport à la vie qui a changé. L’air qui n’a plus la même couleur. Et qu’il n’y aurait pas pu y avoir de Dandy dans ma vie sans burn. Qu’il en est le plus éblouissant artefact.

Parce que cette relation magique qui m’émerveille et m’enthousiasme tellement est viscéralement intriquée aux principes burn. Ceux qui sont au delà des 10 principes. Ceux qui m’attirent depuis deux ans.

Ainsi, les fêtes burners sont des fêtes où je peux venir sans m’inquiéter, juste en étant moi. Moi même. Moi m’aime.

Victoire de ce début d’année.

Naturellement, en dormant entre mes deux amours, est venu le "je vous aime", ce pluriel qui me fait vibrer chaque fois que je peux l’employer.
Mais en sus, en sus des "je t’aime" à mon guerrier, des "je t’aime" à mon dandy, sont venus, dans ce pluriel, des "je t’aime" à mon encontre, à Cendre, ce petit bout de femme qui rayonne.
Rayonne de bonheur aux bras du Dandy,
Rayonne de joie suspendue à son guerrier, embrassant sa co-amoureuse, découvrant les lèvres de Mony ou du géant.
Rayonne de grâce dans les cordes et par les cordes.
Rayonne de bienveillance au milieu de ces gens en tas.
Et Cendre, qui accepte qu’on lui dise. Chaque compliment reçu en ces trois jours n’a fait qu’augmenter l’intensité du rayonnement émis.

Moi m’aime, je peux alors prendre ce qu’on m’offre (à commencer par les repas), apporter le mien, apporter ma touche, de bonheur, d’organisation, de coopération, d’inspiration, même. En douceur, avec cette justesse du geste et de l’offre qui fonde les relations saines entre des gens qui vont bien.

2018 s’annonce extraordinaire même si elle n’apportait que le quart de ses promesses.

Je vous souhaite à tous une merveilleuse année.

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