Ne pas se prendre au sérieux, ne pas monter des plans sur la comète pour un plaisir partagé, un désir assouvi.
Il y en aura d’autres, sûrement.
Assumer la beauté du moment, sa construction, son dénouement.
Ne pas en attendre plus, mais rester ouvert à son évolution, on ne sait jamais.
...
Me défaire aussi, encore une fois, l’idée qu’il faut payer notre bonheur.
Qu’il faudrait qu’il découle d’effort difficilement consentis.
Non, on peut juste, comme ça, prendre ce qui passe, et même ce qui pourrait être, et s’en réjouir, simplement de l’idée que cela puisse exister, du simple bonheur partagé que l’on peut offrir à l’autre, en se l’offrant avant tout à soi même.
S’autoriser à être.
A vivre.
A aimer…