Ils ont changé de nature, mes samedi matins. C’est difficile de juger si c’est mieux ou pas. C’est, tout simplement.
J’aurais aimé avoir un message ce matin, pouvoir me plonger dans la lecture, puis prendre le temps de répondre. Mais c’est une forme de fuite comme une autre, celle de vouloir rester dans la réflexion, et de garder cet art de la reformulation comme prétexte à la procrastination.
Non, j’ai plein de choses à faire aujourd’hui, dont un certain nombre très agréable. Je n’ai aucune raison de rester à me morfondre (plus ou moins) devant mon écran.
Aller, un dernier mail et j’y go !