Ce que j’aime dans le terme polyamour, c’est qu’il y a le mot amour, c’est à dire qu’il ne s’agit pas d’une rechercher des sensations toujours plus fortes ou de combler des manques.
Ah, c’est drôle, j’aurais aimé vous enregistrer, parce que justement, on aime pas trop ce mot Amour, et toutes ses connotations merveilleuses, les papillons dans le ventre et tout. On préféré parler de Relation – Il tique, il sous-entend probablement rapport sexuel, mais me laisse finir – , et de mettre au centre les aspects de communication, de respect de l’autre, prise en compte des besoins et des limites de chacun…
C’est-à-dire, au fond, un amour entre adultes
Je suis polyamoureuse, et j’ai peut être de la chance, mais le premier psy qui m’est tombé sous la main pour en parler semble tout à fait en accord avec mes convictions.
Plus tard, il va me demander :
Vous souhaitez développer cette conceptions de vie, et la vivre harmonieusement avec tous, y compris avec ceux qui comme votre Aimé ne partagent pas cette orientation.
Et cette question du polyamour, est-ce qu’elle vous pose problème ?
A moi, non. Pas plus qu’aux relations que j’ai pu fonder sur ces bases. Non, c’est avec mon Aimé qu’il y a un problème, et que je n’arrive pas à rétablir la communication
Et c’est une difficulté courante chez les arborescent (surefficient)
Et dire qu’il va me falloir attendre 15 jours pour poursuivre cette conversation…