Cendre

Dominant et Dominé

jeudi 24 avril 2014 à 21h37

J’ai enrichi le texte de ce matin de quelque autres citation, et j’arrête ma lecture, car je crois que j’ai à réfléchir sur ce que j’ai lu.

Et comment on ne forme pas un couple dominant/dominé classique, vu que l’on interchange les positions régulièrement.

Dans la besace du dominé, Paule Salomon a quand même placé le chantage affectif (zen. J’ai du mal à écrire, mes doigts se bousculent, se trompent de lettre. Il y a là un truc qui ne veut pas s’écrire. Zen.
Donc, le chantage affectif. (Re. J’ai beaucoup de mal – ça sonne comme une accusation...)
Notre couple… notre union… je souffre… personne ne souffre comme moi
Là où moi j’utilise plutôt l’opportunisme Justement, je voulais te dire... ou la rétorsion.
(il faut absoluement qu’une fois de plus tu te dévalorises, que tu t’en attribue deux là où il n’en aurait qu’un seul, hein ?
Parce que c’est pas sa faute, le pauv' ty chou.
C’est ma grande faute à moi.
A c’est sur. On peut pas l’accuser de jouer de la culpabilisation sur moi tu n’as aucune reconnaissance. Faut dire qu’il a pas besoin : je le fais toute seule comme une grande !

Bref. Deux partout)

Nous disions donc, justement, avant que ne s’ouvre cette parenthèse intérieure, que nous savions tous deux inverser régulièrement les rôles de dominants et de dominées (oh le lapsus de le mettre au féminin, je le laisse celui-là).

[mes doigts qui parlent d’eux même, sans trop que je ne m’en rende compte. Qui dessinent des choses que je ne vois qu’après sur le dessin. Souvenir de la soirée merveilleuse d’hier. Moi qui ne me suis jamais considérée comme artiste...
oui, je sais, tu l’aimes. Oui, Je sais. C’est pas de ça dont je voulais parler. Cendre. Tu te moques de moi avec ce sourire espiègle. Je peux raconter ce que je veux, tu le garderas rivé sur ton visage, en connexion avec cet Agnel Obel qui traine en toile de fond.
Tient, j’ai plus aucun mal à taper :3 * gloussement *
Elle disait quoi, Salomon ? de se recentrer sur soi, sur ses besoins.
Cendre.
Reconnaître ton besoin, inaliénable et grandiose, d’aimer.]

{Je vais définitivement perdre mes éventuels lecteurs. C’est pas grave : j’en connais certains chez qui ce sourire sera des plus contagieux, surtout avec mes ouverture et fermeture de parenthèse.
gratitude.
Merci.}

Inspiration, expiration.
Le plaisir, c’est moi. Renouer avec son corps...
Voluptée.
[dessin...
Non, t’abuses, là,
– parade amoureuse, rien que pour moi –
Je suis en forme ce soir]

Nous disions ?
Remettons un peu de musique et revenons à nos moutons. S’il vous plait mes demoiselles [gloussement] un peu de sérieux !
{tentation de se relire. Mais normalement, tu as la logique dans la tête}

Rapport de dominants/dominés intriqués l’un dans l’autre.

Une proposition de papoter dans la cuisine, ça se refuse pas.
La suite au prochain épisode…

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