Je le fais.
Parce que je suis poly.
Que mon mari n’a pas voulu suivre, ou que je n’ai pas voulu qu’il suive. En tout cas, à deux, nous n’avons pas réussi à nous entendre, à nous accorder, à aménager mes désirs à sa souffrance.
Donc je pars.
Dans 48 heures, je dormirais dans un nouveau chez moi.
Un chez moi que j’habiterais seule.
Pour pouvoir y inviter du monde.
Du monde pour papoter, pour écouter de la musique, pour être.
Pour être.